Haute Joaillerie : Dior, au plus proche de la nature
Plus tôt dans l’année, Victoire de Castellane a dévoilé à Florence le premier chapitre de la collection Diorama & Diorigami.
Celui-ci célèbre des codes chers à la maison comme la toile de jouy, motif qui ornait les murs de la petite boutique de Monsieur Dior à ses débuts, ou encore la nature, omniprésente car inspirée du refuge du couturier à Milly-la-Forêt. Ainsi, lapin, chouettes, cygnes, mais aussi renard, écureuil et biche se parents de diamants et pierres précieuses, et le plus souvent de chrysoprase. Des feuillages en or se mêlent à des arbustes foisonnants ou à de luxuriants parterres de fleurs constellés de joyaux comme autant de pétales délicats. Clou du spectacle, le collier Diorama (ci-dessus) en or jaune, or blanc, diamants, émeraudes, saphirs jaunes, grenats tsavorites, perles de culture blanches et chrysoprase, le tout surmonté d’une émeraude de Colombie de plus de 16 carats. Une pièce réalisée selon la technique ancestrale de la glyptique, qui consiste à graver ou sculpter des pierres précieuses. Tout un art.