Comment votre histoire avec Urban Outfitters a-t-elle débuté ?
J’ai rejoint Urban Outfitters en 2015 après douze années de bons et loyaux services chez Topshop, comme head of design du womenswear d'abord, puis comme design director des prêts-à-porter féminins et masculins.
Trois mots pour définir la marque et son style ?
Éclectisme, exclusivité et confiance en soi. Urban Outfitters a une esthétique unique, en même temps qu’un vrai héritage à défendre. La musique, l’art de vivre, le streetwear et le casual wear sont encore aujourd’hui partie intégrante de notre identité.
À l’ère de la street culture, justement, comment Urban Outfitters se positionne-t-il ?
Le streetwear permet de jouer avec l’identité d’un produit et de l’ancrer dans un cadre tout à fait nouveau. En ce moment, j’adore mixer du streetwear avec des pièces très féminines, pour créer des associations à contre-courant. Déjouer les règles, en quelque sorte.