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Céline Talabaza : "Noble Panacea défie les codes usuels du marché cosmétique"

Plus que jamais, science et cosmétique semblent évoluer main dans la main. Preuve en est avec la marque de cosmétiques Noble Panacea, dont les formulations high tech se targuent d’être uniques en leur genre. L’OFFICIEL a rencontré Céline Talabaza, CEO de la marque de luxe ultra pointue — Noble Panacea étant une marque dont le fondateur a obtenu un prix Nobel de Chimie pour son travail sur les machines moléculaires dont fait partie la technologie de la marque, l’OSMV —, pour en découvrir davantage.

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L’OFFICIEL : D’où vient ce nom, Noble Panacea, et pourquoi ?

Céline Talabaza : Sir Fraser Stoddart est à l’initiative du nom. Il y a tout d’abord le côté « Noble », à savoir avoir des valeurs et des standards très hauts. Tandis que « Panacea » est une déesse grecque : il s’agit donc d’une ode a la femme. Mais aussi, le terme peut faire référence à la panacée, une cure universelle. Et, au final, les deux mots se marient bien et se veulent très singuliers !

L’O : Pourquoi Noble Panacea est une marque unique sur le marché cosmétique ?

CT : Je considère Noble Panacea comme une marque high tech et luxe. D’autres concurrents proposent de très jolies marques, fondées par des docteurs. Mais là où nous nous démarquons, c’est dans le fait que notre fondateur, Sir Fraser Stoddart, se distingue avec son Prix Nobel en Chimie. C’est totalement inédit en cosmétique ! D’autre part, notre packaging fait la différence, on pourrait presque le comparer à un objet sculptural. Dans tous ses aspects, Noble Panacea a eu à coeur de défier les codes usuels du marché cosmétique. J’ai beaucoup de respect pour toutes les marques existantes, mais il me semble vrai qu’on ne ressemble à personne. Noble Panacea a su tirer son épingle du jeu en misant sur un concept éco-responsable, transparent, et qui soutient l’éducation.

L’O : Au sein de l’entreprise quel a été votre plus grand challenge?

CT : Bonne question ! (rires) On en a énormément, je ne vais pas vous le cacher (rires). Tout d’abord, chez Noble Panacea, on est sur des temps de développement qui sont extrêmement courts pour la sophistication de la technologie. Seulement quelques scientifiques au monde savent manipuler notre technologie brevetée OSMV — qui préserve les actifs en les libérant précisément au sein des cellules. Considérant la sophistication, on est — je me répète — sur des développement vraiment très courts : le challenge étant de continuer à créer quelque chose de different tout en apportant des nouveautés et innovations de manière assez rapide sur un marché très demandeur, mais ayant nos équipes qui manipulent des molécules sans s’arrêter, mais nécessitant des test qui prennent eux plus de temps. Le deuxième challenge étant les matériaux qu’on utilise. Ceux-ci sont biodégradables, ce qui implique qu’il y a pas beaucoup de fournisseurs, donc qu’il faut bien planifier leur production. Quand on travaille des matériaux rares, il faut bien prévoir son organisation ! (rires)

L’O : En quoi est-ce important de travailler pour Noble Panacea ?

CT : Pour moi, c’est un projet complètement unique ! J’ai pu travailler sur une page blanche avec cette technologie de l’OSMV, vue nulle part ailleurs. J’ai pris ça comme un petit trésor. On m’a donné beaucoup d’opportunités en tant que directrice marketing, puis CEO, et je me suis sentie libre de co-penser cette marque qui, je pense, répond bien aux attentes et valeurs de nos clientes, mais surtout reflète bien l’Homme qu’est Sir Fraser.

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L’O : Quel est votre souvenir le plus marquant depuis le début de votre aventure chez Noble Panacea ?

CT : Il s’agit d’une nuit, fin octobre 2019, quand on a lancé la marque au Metropolitan Museum de New York. Je considère Sir Fraser comme un sculpteur de molécules, et c’est pour ça qu’il était important de faire ce lancement au MET. De mêler l’histoire de l’art à celle de la science. Cette nuit là, y avait des invités incroyables. J’ai dû monter sur scène présenter Noble Panacea à l’auditoire, et je me souviens de la bienveillance de Sir Fraser comme l’aurait fait mon grand-père. Il m’a pris la main et m’a dit "You are going to do good". Cet homme est incroyable : il valorise chaque personne. En tant que leader, ça a beaucoup de pouvoir.

L’O : Êtes-vous à initiative de la collaboration entre la marque et l’association Girl Up ?

CT : Je viens d’une famille d’enseignants, l’éducation est très importante pour moi. Elle est la base de tout ce qui nous entoure, on apprend a vivre avec les uns et autres. Elle est une arme pour affronter la vie, elle me passionne depuis toujours, et je sais quel effort ça requiert. Quand la marque a été créée par Sir Fraser, il était important pour moi de proposer aux clientes quelque chose qui va au-delà de la beauté. De dépasser la simple superficialité qu’on lui associe. Avec Girl Up, on a eu la chance de pouvoir mettre l’éducation des jeunes filles à l’honneur. Noble Panacea s’érige ainsi comme un mentor pour soutenir les etudes de jeunes filles qui veulent étudier la science.

L’O : Science et technologie sont-ils liés ?

CT : Complètement ! La science, c’est le progrès. Tandis que le but de notre industrie est la preservation du potentiel de notre peau. Ce but passe nécessairement par la science avec la recherche d’actifs ciblés, qui sont été scientifiquement testés. Si on ne délivre pas le bon actif au bon endroit au bon moment, notre technologie ne sera pas optimisée et sera vaine.

L’O : Votre experience chez Noble Panacea en 3 mots ?

CT : Inattendue, révolutionnaire et basée sur la collaboration.

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