On a parlé d'amour avec The Pirouettes
Propos recueillis par Mathilde Berthier
Photo Jules Faure
Quand vous êtes-vous rencontrés ?
Leo : Au lycée, en terminale, à Annecy. J’étais in love de Victoria et, pour la séduire, je lui ai écrit une chanson.
La musique, c’est inné ou acquis chez vous ?
Vickie : Avant les Pirouettes, Leo faisait partie du groupe Coming Soon, il avait pris des cours de batterie au conservatoire. Mais moi je n’avais jamais fait de musique.
Comment, concrètement, est né The Pirouettes ?
Vickie : Un mercredi après-midi chez Léo, on a répété et on s’est embrassés pour la première fois.
Vous faites toujours tout ensemble ?
Vickie : C’est surtout Leo qui compose les parties instrumentales, et pour ce qui est des textes on écrit à deux. Moi je gère tout l’aspect visuel.
Vous chantez en français, c’est un peu votre marque de fabrique... L’anglais, ça vous tente ?
Leo : On a commencé par chanter en anglais, mais le français s’est imposé à nous quand on a repris Comment lui dire de France Gall et Michel Berger. On s’est rendu compte que chanter dans sa langue permettait plus de sincérité.
Quelles sont vos influences ?
Il y en a plein : la chanson française des années 1970-80, Christophe, Étienne Daho, Yves Simon... Aujourd’hui, on écoute surtout de la musique contemporaine, beaucoup de rap et de musique américaine grand public.
Comment résumeriez-vous votre premier album, Carrément carrément ?
Vickie et Léo : Le meilleur album pop de 2016, tout simplement (rires).
Une devise qui vous caractérise ?
Amour, gloire et beauté.
Si vous pouviez voyager dans le temps, quelle époque choisiriez-vous ?
Un futur lointain, genre 2222.
Album Carrément, carrément, The Pirouettes,
chez Kidderminster.
En concert à La Cigale le 11 mai 2017.
www.bandsintown.com/thepirouettes
Photo
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