Paul Belmondo : "Mode et cinéma ont toujours été intrinsèquement liés"

Cet été, celio mise sur la fierté française avec une collection hommage à la Méditerranée, et plus particulièrement à la mythique ville de Saint-Tropez. On découvre des pièces qui capturent l'essence ensoleillée de la ville : culture, sport, farniente, soirées, et élégance. Des pièces intemporelles et modernes pour profiter de l'été avec style, célébrant l’élégance décontractée de cette cité emblématique. Et pour faire honneur à l’un des acteurs Français les plus iconiques, la marque s’entoure de Paul Belmondo, fils de Jean-Paul Belmondo, en tant qu’égérie de cette nouvelle collection. Cette campagne met en scène le comédien et l’un de ses fils, Giacomo, véhiculant ainsi des valeurs intergénérationnelles qui tiennent à cœur à celio. L’OFFICIEL l’a rencontré.

L’OFFICIEL : Quel est votre premier souvenir avec celio ?
Paul Belmondo : De mémoire, ce souvenir remonte à plusieurs années alors que j’étais allé m’acheter des pièces celio de manière totalement anonyme, dans une boutique du 17e arrondissement de Paris.

LO : Quelles valeurs communes partagez-vous avec la marque ?
PB : Il serait prétentieux de ma part de dire que je partage des valeurs avec la marque, mais je vais vous dire ce que j’aime chez celio. J’en apprécie la qualité par rapport au prix, et j’adore toute la ligne Saint-Tropez qui est en tout point concordant avec mon style.

LO : Quelles sont vos pièces préférées de la collection ?
PB : Le pantalon chino marine, léger et parfait pour l’été, le t-shirt Saint-Tropez, intemporel et facile à porter, ainsi que la chemise en lin blanche, qui se distingue avec son élégant logo. Il s’agit de pièces que j’aime porter au quotidien.

LO : Que vous évoque Saint-Tropez ?
PB : Beaucoup de souvenirs me viennent en mémoire lorsqu’on m’évoque Saint-Tropez ; c’est toute mon enfance à laquelle je pense. J’y ai passé de nombreux moments en famille, avec mes parents, mon père bien évidemment, puis plus tard avec mes fils, Giacomo, Victor et Alessandro. Au-delà de ces moments de vie, je pense à l’image de Brigitte Bardot, icône de Saint-Tropez, ou encore au port de la ville, qui s’offre à nous quand on arrive, avec son foisonnement où se mêlent bateaux, restaurants, touristes et locaux, le tout surplombé par une architecture très caractéristique, reconnaissable entre mille.

LO : En quoi est-il important de célébrer le lien entre mode et cinéma ?
PB : Les deux ont toujours été liés. Le cinéma a souvent fait la mode, tout comme la mode a fait le cinéma. Par le biais de films ont été lancées des tendances vestimentaires, mais à l’inverse une scène a pu être rendue iconique grâce à l’intervention d’un accessoire de mode ou d’un vêtement. On pense à Marilyn Monroe et sa robe blanche dans Sept Ans de réflexion, le style Bardot qui ne s’essouffle plus depuis Et Dieu… créa la femme, la silhouette rock et denim de James Dean dans À l'est d'Éden, le borsalino en feutre d’Humphrey Bogart ou plus récemment le béret d’Emily in Paris que s’arrachent toutes les américaines.

LO : Quel rapport entretenez-vous avec la mode au quotidien ?
PB : Je ne suis pas un féru de mode. Je ne fais pas la Fashion Week et ne m’achète pas les dernières tendances en magasin. Je préfère créer mon propre style en choisissant des pièces suivant mon goût, qu’importe qu’il s’agisse ou non de la dernière pièce en vogue. Pour preuve, je garde mes vêtements et j’ai toujours dans mon vestiaire certains habits datant d’il y a de nombreuses années.

LO : Votre style en 3 mots ?
PB : Simplicité, pratique, reconnaissable. À l'image de la nouvelle collection celio.

LO : Avez-vous de nouveaux projets à venir ?
PB : Je suis actuellement en tournée pour présenter une pièce sur plusieurs festivals cet été, jusqu’à début août. J’ai ensuite une actualité chargée en 2025 avec deux pièces : Complètement Space en début d’année, et Papasss qui se jouera jusqu’en septembre 2025.

La collection Saint-Tropez en exclusivité chez celio est disponible sur le site internet et dans toutes les boutiques.